Une bonne petite chienne

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il y a 7 ans

Nous étions dans la voiture en ce début d’après-midi. Quand je vous avais demandé, où est-ce que nous allions, vous m’aviez répondu que je verrais bien. Votre sourire en coin et la lueur d’amusement mélangé à un peu de sadisme dans votre regard, ne me rassurez pas.

Je ne reconnaissais pas le chemin, nous passions de champs, à forêt, à la ville. Puis, vous garez la voiture devant une animalerie. Mais qu’est-ce que nous faisions là ? On avait tous ce qu’il fallait pour Pavot. Je vous suivis perplexe. Nous nous arrêtâmes dans le rayon gamelle pour chien. Vous vous retournez vers moi en me demandant « simple ou double ? »

Je vous regarde comme si vous débarquiez de la planète Mars. « Comme vous voulez » fut ma réponse. Je ne comprenais rien de ce qui se passait. Vous prenez deux gamelles en inox et vous dirigez vers les colliers. Je vous suivi, en essayant de trouver une logique. Vous prenez un collier en cuir bleu avec sa laisse et me faite signe de m’approcher. Je m’arrête devant vous. Vous me donnez les gamelles et me faites signe de faire demi-tour. Puis vous ordonnez « soulèves tes cheveux ». Et quand, je sens le collier passer autour de mon cou, je comprends. Vous le retirez et vous dirigez vers un présentoir à médaille. Vous en trouvez une avec un « H » dessus et vous dirigez vers la caisse.

La caissière passe les articles et au passage de la médaille, elle se tourne vers nous et nous demande « Un H pour ? ». Vous répondez « Hikari » et dans le même temps, je réponds « Hercule ». Votre regard me foudroie sur place et la caissière éclate de rire en nous disant que le choix du sexe est souvent source de « conflit ». Vous payez et nous sortons. Votre aura est furibonde. Je monte dans la voiture sans un mot. Je comprends ce qui se passe. Il y a quelques temps, je vous avez parlé de mon envie de tester le monde des pets. Vous m’aviez dit, de me méfier de mes envies, car de un nous pourrions parfaitement approfondir le sujet et de deux, vous seriez capable de m’emmener faire les courses pour que nous soyons équipés en ce cas. ET je vous avez répondu « même pas cap ! »

Note à moi-même : tourner sept fois ma langue dans ma bouche avant de parler. Au bout de quelques kilomètres, vous garez la voiture et m’ordonnez de descendre. Quand j’arrive de votre côté, vous avez la médaille rattachée au collier dans la main. Vous m’ordonnez de faire demi-tour et de soulever mes cheveux. Vous poser le collier autour de mon cou, votre main passe dans mes cheveux, se raffermit en me soumettant à vous.

_ Tu vois, je suis parfaitement capable de faire ce genre de chose. Je te pensais plus maligne que ça. Me provoquer n’était pas une bonne idée. Prends la cravache qui se trouve dans la voiture et penche-toi sur le capot, jupe relevée. Il est temps d’assumer.

Votre main me relâche et j’obéis. Je vous tends la cravache et m’installe comme demandé. La fessée durera cinq bonnes minutes. Je dansais d’une jambe sur l’autre. Au départ, je faisais plus attention à ne pas être repéré mais au bout d’un moment, cela chauffait trop. Vous arrêtez la fessée et me caressait doucement les fesses. Votre main reprend sa place dans mes cheveux et me fait faire demi-tour. Vous vous approchez de moi, votre corps collé au mien. « Toute une éducation à faire » dites-vous avant de m’embrasser. Votre baiser est long, profond et m’embrase. Je gémis entre vos lèvres. Nous remontons en voiture et sur le trajet vous m’expliquez :

_ Nous allons rentrer à la maison. Une fois cela fait, tu seras en mode chienne jusqu’à demain matin. Ce qui veut dire, que tu n’as pas le droit de parler. A toi de te débrouiller pour te faire comprendre. Si tu parles, je te bâillonne. C’est clair ?

_ Oui, Maître.

_ Bien. Tu sais que je t’aime ?

Je hoche la tête et vous souris. Nous arrivons à la maison. Vous fermez le portail et nous nous dirigeons vers l’entrée. Sur le court trajet, vous me demandez d’aller récupérer ma queue et de vous attendre en position 6 dans le salon. Je récupère ma queue, me déshabille et vous attends sagement en position 6 dans le salon. Vous tendez la main en arrivant devant moi et, je vous donne la queue. Vous m’expliquez que, cela commence maintenant. Vous m’ordonnez de faire demi-tour et positionnez la queue en bonne place. Vous alliez partir vers votre bureau, quand, votre regard se pose sur mes cheveux. Et là, la question tombe, « ou se trouve les élastiques ? ». Hum… Dans mon sac à main….

Bon, comment on fait pour expliquer cela sans parler ???? Je me dirige dans la cuisine à quatre pattes et cherche mon sac à main des yeux. Il est posé sur le meuble. Je m’assoie devant et fixe mon regard dessus sans bouger. Vous comprenez le message et attrapez le sac. Je donne un léger coup de dent sur la fermeture extérieure et vous y trouvez l’élastique. Vous tressez mes cheveux, rangez le sac, déposez une couverture au pied de votre bureau et retournez travailler. Je m’installe en boule sur la couverture et me laisse bercer par le bruit du clavier.

Je me réveille au bout d’un certain temps. Je me redresse et m’étire comme un chat. Mais, j’ai soif. Je vais jusqu’à la cuisine, me met assise devant la gamelle d’eau du chat et j’aboie. Une fois, deux fois, rien. J’allais aboyer une troisième fois quand, je vous vois arriver dans la cuisine en me demandant ce que je veux. Je me retiens de lever les yeux au ciel. Vous déposez une gamelle d’eau au sol et me caressez quant je passe auprès de vous pour aller boire. Quand j’ai fini, je vous repère à mon côté avec une laisse en main. Vous me regardez et dites « on va faire un peu d’éducation ». Euuhhhh… non !

Je passe entre vos jambes et coupe par la table. Après vous avoir fait tourner pendant deux minutes autour de la table, je vous laisse accrocher la laisse au collier. Et au moment où, vous vous redressez, je tire un coup sec et me sauve. Quand, je suis retenue net. Je me tourne et je vois votre pied posé sur la laisse. Zut…. Vous me dites que je suis une vilaine en m’emmenant au salon. Après dix minutes de « assis », « couché », « pas bougé » et autres ordres de ce type auquel je me plie avec bonne volonté, vous me lancez une peluche et me demandé d’aller chercher. Sauf que, ça ne m’amuse plus. Donc, je me dirige vers la couverture toujours près de votre bureau et m’installe. Après tout, un chien ne fait pas quant il n’a plus envie donc… Vous répétez l’ordre, sans plus d’effet.

C’est votre main heurtant mes fesses qui me fait sursauter et glapir. Instinctivement, je recule sous le bureau. Par précaution, je prends la laisse en bouche, des fois qu’il vous viendrez l’idée de vous en servir. A ma réaction, vous comprenez que j’ai eu peur, vous vous approchez en me disant que vous ne me ferez rien. Mouais, ce n’est pas ce que me dit ma fesse gauche. Vous vous installez sur le canapé et attendais. AU bout de cinq minutes, je sors doucement de dessous le bureau et m’approche de vous. Je dépose la laisse dans votre main. Vous la prenez, tirez de manière à ce que mon visage soit à la hauteur du votre et me traitez d’idiote juste avant de m’embrasser et de retirer la laisse du collier.

Je gratte à la porte pour sortir, besoin naturel. Quand je rentre, vous êtes dans la cuisine en train de préparer le repas. Vu que je ne peux pas vous aider, je vais récupérer la couverture et l’amène là où je ne serais pas dans vos pieds. Le repas sent divinement bon, je n’ai pas vraiment fait attention à ce que c’était mais l’odeur donne envie.

Vous sortez de la cuisine et quelques secondes plus tard, vous m’ordonnez de venir à vos pieds. Je me lève et me dirige vers le bruit d’eau, dans la salle de bain. Vous me retirez le collier et ma queue, puis m’ordonnez de monter dans la baignoire. J’obéis puis me mettre à quatre pattes puis m’assoie sur mes pieds. Vous m’expliquez que vous m’avez vu frissonnez, que cela me réchauffera et que j’avais besoin d’un lavage. Je grogne sous cette phrase, mais vous vous en fichez. L’eau chaude détend mon corps et vos mains le caressant, ne me laisse pas indifférente. Quand je sens votre main défaire la tresse, je recule pour vous en empêchez et vous m’ordonnez de ne pas bouger et d’être sage. J’obéis et je sens l’eau couler le long de mes cheveux.

Par pur réflexe, lorsque je sens que les dernières traces de shampooing s’en vont, je m’ébroue. Sauf que, chez moi, il y a le rideau de douche. Quand je vous entends hurler mon nom, je m’arrête net et me fait toute petite. J’ose ouvrir un œil pour voir l’étendue des dégâts. Vous êtes aussi éclaboussé que votre salle de bain. Pour le coup, je suis au bord des larmes. Vous me dites que je suis incorrigible, tout en vous séchant. Cependant, il n’y a pas de colère dans vos yeux, plutôt de l’amusement. Je reste immobile, jusqu’à ce que vous me demandiez de sortir de la baignoire. Vous me séchez, refaite la tresse dans mes cheveux et me remettais le collier.

Je sors derrière vous de la salle de bain. Je ne sais pas comment me faire pardonner. Je passe devant la peluche. Je m’arrête, la prends et vous la rapporte. Je la dépose à vos pieds, m’assoie sagement et attends. « Tiens, tu rapportes maintenant ? ». Je me rapproche de vous et vous lèche les doigts. Vous me caressez et déposez la peluche sur ma couverture.

Vous me dîtes que ce n’est pas l’heure de jouer, mais de manger. Vous vous servez une assiette et me servez une part dans ma gamelle. En approchant, je découvre un lasagne d’aubergines. Je sens que je vais m’en mettre partout et ça ne loupe pas. Mais, buvant dans une gamelle, cela nettoie la catastrophe. Je rapproche ma gamelle du lave vaisselle. Vous terminez votre repas et prenez un café.

Je gratte à la porte pour pouvoir sortir, mais vous me répondez non. Je me retourne vers vous, surprise. « Il fait trop froid dehors. Tu as le droit à deux minutes d’humanité ». Je me frotte à vous et obéis. Mes genoux rechignent à se déplier. J’en profite pour un passage brossage de dents. J’éteins la lumière et je repasse à quatre pattes. Vous m’attendez assis dans le canapé. Je m’approche et me pose à vos pieds. Vous me regardez et me dites, qu’il est temps de vous remercier, pour ces deux minutes d’humanité. Je comprends que, vous ne voulez plus votre chienne, mais votre chienne soumise.

Je me fais câline. Pour le moment, il n’y as que ma bouche qui touche votre peau. Mes mains étant encore trop fraîches. Ma bouche dépose de doux baisers sur votre torse. Je m’amuse à en faire le tour et à frôler votre bas ventre, sans m’y arrêter pour le moment. Ma bouche trouve vos tétons et je les titille doucement. Je sens votre souffle se faire plus court et je souris. Pendant ce temps, mes mains s’attaquent à votre pantalon et à votre boxer. Une fois votre membre libéré, je le caresse doucement en de très, très long va et viens. Je le sens doucement grossir entre mes doigts et votre souffle devient rogue. Je redescends vers votre bas ventre en laissant une ribambelle de baiser. J’embrasse la base de votre verge et la prends délicatement en bouche. Mes va et viens sont doux et toujours protéger de mes dents. Mes mains jouent doucement avec vos testicules, puis retourne flâner sur votre torse. Je vous sens vous tordre sous mes caresses et cela ne me laisse pas indifférente.

Votre membre grossit encore un peu plus et j’augmente la vitesse de mes vas et viens. Je décide de retirer doucement mes lèvres quand votre main se bloque dans mes cheveux. Je m’immobilise. Vous me retirez de vous, je laisse échapper un grognement de frustration qui ne vous échappe pas. Vous me rappelez que c’est vous qui décidez.

Vous me positionnez à quatre pattes sur la table basse et me prenez sans plus de ménagement. Vos coups de reins sont puissants. Je me cabre sous eux, cherchant à vous accueillir au mieux. Mon souffle est court, erratique, je tremble doucement. Vous ralentissez vos mouvements et je grogne. Une grande claque atterrit sur mes fesses et je gémis. Votre main trouve mes cheveux et me cambre vers vous. Vous me dîtes d’une voix sourde « c’est moi qui décide. Moi le Maître. Si je t’entends grogner encore une fois, je te punis, c’est clair ? ». Je hoche la tête et vous vous remettez en mouvement. Je geins de plaisir en vous sentant grossir encore en moi. Vous me faites posez le buste à plat et augmentez le rythme. Dans mon ventre, les papillons décollent et je me retiens de vous supplier. Je vous sens vous perdre en moi et je vous suis.

Vous vous retirez de moi et vous posez sur le canapé. Je me redresse et me mets à vos pieds. Vous me caressez doucement en reprenant votre souffle. Vos lèvres viennent trouver les miennes, pour un baiser qui en dit long. Je commence doucement à m’endormir auprès de vous. Vous accrochez la laisse à mon collier et me dîtes qu’il est temps que la chienne aille se coucher. Je vous suis et, vous vous dirigez vers la chambre. Il ya une couette au sol, au pied de votre lit. Je comprends, que je ne dormirai pas avec vous ce soir. Vous m’ordonnez de me coucher et vous rajoutez « Pour éviter que ma chienne monte sur le lit cette nuit, je me dois de l’attacher ».

Vous accrochez une chaine à mon collier et l’attachez à un pied du lit, puis, vous me déposais les menottes aux chevilles, que vous reliez également au lit par une chaîne. Je peux me retourner mais je ne peux pas monter sur le lit et tout juste me redresser. Vous m’embrassez puis quitter la chambre en refermant la porte. Je me dis que ce n’est pas drôle mais finit par trouver le sommeil. En fin de nuit, je suis réveillée par le bruit de chaîne qu’on bouge. Je vois votre main en train de détacher la chaîne de mon collier. Vous me regardez et me dîtes doucement que je peux aller passer le reste de la nuit dans le lit. Je vous embrasse, monte dans le lit et me rendors.

Je me lève vers 8h00. Je viens vous dire bonjour et vous m’embrassez. Je m’étire doucement et me dirige vers la cuisine. Je m’assoie devant ma gamelle et attends en priant pour que ce soit du café que vous avez décidé d’y mettre. Vous me regardez et me dîtes que vous êtes fier de moi et que je peux de nouveau agir en humaine et prendre mon petit déjeuner. Je me remets sur deux pattes et vous embrasse doucement en vous remerciant. Je vous demande si vous souhaitez un café avant de me préparer le mien.

Je prends tranquillement mon petit-déjeuner, en vous regardant. Je me dis qu’il est temps que vous vous décidiez à prendre une pause et à vous détendre. J’ai bien ma petite idée sur comment organiser tout cela. La seule chose que vous aurez à faire, c’est de me faire confiance.

Mais cela est une autre histoire.

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